Avant de rentrer dans les grandes définitions que vous pourrez lire en dessous,
Ici chez Alexis de Garibaldi nous avons quelques outils, en coaching ou en bien être, pour vous accompagner dans la gestion et la maitrise votre Stress.
Le rendre plus confortable à vivre, faire baisser son curseur, voir même le faire disparaître totalement suivant sa source et son degré.
Apprendre à l’identifier, le connaitre, le ressentir, le doser, le maîtriser.
Identifier ce qui vous fait vibrer, raisonner ou déraisonner
Nous sommes à votre écoute, pour vous apporter des solutions adaptées…
A bientôt
A2G.
Le stress [stʁɛs] (de l’anglais stress [stɹɛs]1 est, en biologie, l’ensemble des réactions d’un organisme soumis à des pressions ou contraintes de l’environnement.
Ces réactions dépendent toujours de la perception qu’a l’individu des pressions qu’il ressent. Selon la définition médicale, il s’agit d’une séquence complexe de situations provoquant des réactions physiologiques, psychosomatiques.
Par conséquence, tous ces incidents sont également qualifiés de stress.
Dans le langage courant, on parle de stress positif (eustress en anglais) ou négatif (distress).
Le stress est différent de l’anxiété, celle-ci est une émotion alors que le stress est un mécanisme de réponse pouvant amener différentes émotions, dont l’anxiété.
Étymologie
Le mot stress en français est un emprunt du même mot anglais qui est lui-même issu de l’ancien français « destresse » qui signifie détresse.
Historique
La notion de stress a été introduite par l’endocrinologue Hans Selye, qui, en se basant sur le concept de stress mécanique, publie en 1956 The stress of life (Le Stress de la vie). Observant ses patients, il y décrit le mécanisme du syndrome d’adaptation, c’est-à-dire l’ensemble des modifications qui permettent à un organisme de supporter les conséquences d’un traumatisme naturel ou opératoire. Il publie par la suite Stress without distress en 1974, (Le Stress sans détresse) et son autobiographie The stress of my life (1977).
L’idée du concept de stress et de syndrome général d’adaptation lui est venue en 1925 alors qu’il étudiait la médecine à l’Université de Prague2. Par la suite il a développé le concept de Eustress. Ce terme qu’il a inventé se compose de deux parties. Le préfixe « eu » vient du mot grec qui signifie « bien » ou « bon ». Accolé au mot stress, il signifie littéralement « bon stress ». Par la suite, diverses notions ont été rajoutées pour définir, d’une part la notion de a-stress, d’autre part de dystress3. A-stress est un état privatif de stress (pouvant être obtenu notamment par le biais de la méditation) dont les effets bénéfiques pour la santé sont expérimentés en médecine4. Des travaux utilisant cette méthode ont été publiés en 2010 en Suède chez des patients cancéreux5.
Les travaux de recherche portent sur l’être humain (avec la psychologie, psychiatrie…) ou relèvent de l’éthologie en s’appuyant sur l’étude du comportement de différentes espèces face au stress (dans la nature ou dans les élevages ou chez l’animal domestique), ou sur des expériences de laboratoire basées sur le modèle animal (rat de laboratoire ou souris le plus souvent ; exposés à des décharges électriques, un risque de noyade ou lors d’une expérience récente à de la litière de chat. Les individus sont plus ou moins vulnérables à un même stress, en partie pour des raisons génétiques. Selon une étude récente (publiée le ), 334 gènes sont impliqués chez les rats les plus sensibles au stress post-traumatique6
Chez l’humain
Le stress implique trois systèmes neuro-hormonaux selon le modèle de Selye : l’axe hypothalamo-sympathico-adrénergique, l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (appelé aussi système CRH ou axe corticotrope) et le système nerveux central. Le syndrome général d’adaptation que provoque le stress se divise en trois phases. La première réalise la réaction d’alarme (choc et contre-choc) et implique l’axe hypothalamo-sympathico-adrénergique, axe rapide qui répond au stresseur (stimulus stressant tel que fuite, attaque, immobilisation, compensation…). La seconde est la phase de résistance, dans laquelle intervient le système CRH, axe lent, avec libération de glucocorticoïdes (principalement le cortisol chez l’homme). La troisième est la phase d’épuisement qui correspond à un état de stress chronique dans lequel les récepteurs du système nerveux central deviennent moins sensibles aux glucocorticoïdes qui submergent l’organisme. L’hippocampe saturé de cortisol ne peut plus assurer la régulation. Le cortisol envahit le cerveau et installe une dépression. Les zones altérées sont principalement l’hippocampe9, l’amygdale, le cortex cingulaire antérieur et le cortex préfrontal[réf. nécessaire]10.
Une étude de laboratoire récente montre en outre un lien significatif entre le clignement des paupières humain (Nictation) et la charge psychique (mentale)11,12.
Ce qui permet en séance d’EMDR de faire un travail considérable sur les Traumas.
Le stress a des répercussions sur notre santé mentale, physique et psychique.
En effet son action peut être bénéfique dans certains cas et nous pousser à réussir.
Ou au contraire il peut être néfaste et nous déstabiliser complètement jusqu’à perdre le contrôle de nous-même.
De nos gestes, de nos paroles, de nos comportements, de nos réactions ou interprétations des faits.
Les facteurs déclencheurs du stress sont nombreux : ils peuvent être physiques ou environnementaux (traumatismes, interventions chirurgicales, travail important), physiologiques (douleurs, manque de sommeil, déséquilibres des rythmes alimentaires), psychiques (émotions négatives). De plus un stress chronique peut être à l’origine de maladies graves ou addictives tel que le cancer, la drogue, ou l’alcool.
Des méthodes non médicamenteuses sont proposées pour limiter les effets du stress.
Parmi ces méthodes on peut citer la relaxation corporelle telle que
* la sophrologie,
* la relaxation mentale (grâce à la méditation notamment), comme le yoga aussi, la marche, le sport.
* La cohérence cardiaque … travailler sur sa respiration est aussi un élément déterminant
la consultation de professionnel voire le recours à l’aromathérapie (huiles essentielles) peut aider aussi en ce sens, tout comme la musicothérapie,